Occurences de l'expression

jours

pour CYRANO de BERGERAC, Savinien

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LA MORT D'AGRIPPINE (1654)

Du filet de ses jours, il approcha Pison : v.96 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
Sans avancer nos jours, pour avancer sa mort, v.155 (Acte 1, scène 2, SÉJANUS)
Je vous tiendrai toujours à couvert de sa haine ; v.166 (Acte 1, scène 2, S?JANUS)
Elle a toujours pensé que des raisons d'État v.331 (Acte 1, scène 5, SÉJANUS)
Je sais bien qu'Agrippine à mes jours est funeste : v.366 (Acte 2, scène 1, TIBÈRE)
Me conserve toujours un motif pour sa mort. v.548 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
Et confirme toujours mon refus à Tibère. v.554 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
Quoi ! La craindre, et n'oser mettre un terme à ses jours ! v.1007 (Acte 4, scène 1, TIBÈRE)
Ou bien la laisser vivre, et la craindre toujours ? v.1008 (Acte 4, scène 1, TIB?RE)
Je feindrai de savoir qu'elle en veut à mes jours, v.1015 (Acte 4, scène 1, TIBÈRE)
En vouloir à mes jours ! Il en mourra l'ingrat ! v.1327 (Acte 5, scène 1, TIBÈRE)
La parole est toujours auprès de la pensée; v.1362 (Acte 5, scène 1, TIBÈRE)
Et feignant tous les jours de t'engager mon âme, v.1505 (Acte 5, scène 6, AGRIPPINE)
Tous les jours en secret je dévidais ta trame... v.1506 (Acte 5, scène 6, AGRIPPINE)
Je tâche vainement à prolonger mes jours ! v.1516 (Acte 5, scène 6, AGRIPPINE)

LE PÃ‰DANT JOUÃ‰ (1654)

Premièrement à cause que vous êtes veuf d'une pucelle qui vous fit faire plus de chemin en deux jours que le Soleil n'en fait en huit mois dans le Zodiaque ; vous courûtes du Gemini au Chancre en huit jours, ce que l'autre ne saurait faire, et lorsque vous pensiez n'être encore arrivé qu'à la Vierge ; vous entrâtes au Verseau sans avoir vu d'autre signe en passant que celui du Capricorne. (Acte 1, scène 1, GRANGER)
Hé bien, « Petre », ne voilà pas une digue que je viens d'opposer aux terreurs que me donne tous les jours Monsieur de La Tremblaye ? (Acte 1, scène 2, GRANGER)
Tous les jours que Guieu feset, ce bagnoquier-là me ravaudet comme un Satan. (Acte 2, scène 2, GAREAU)
C'étet un bon Nicolas, qui s'en allet tout devant ly, hurlu brelu, n'en eut pas dit qu'oui y touchet, et stampandant oui marmonet toujours dans une bâtelée de Livres. (Acte 2, scène 2, GAREAU)
Ous esquiais un vrai Jui d'Avignon en ce temps-là : Ous esquiais tréjours à pandiller entour ces cloches, et y à sauter comme un Maron. (Acte 2, scène 3, GAREAU)
Va-t-en avec Paquier, prends le reste du teston que je lui donnai pour la dépense il n'y a que huit jours... (Acte 2, scène 4, GRANGER)
Peut-être que s'il eût eu la patience d'attendre encore huit jours, le Roi l'y eut envoyé, en si bonne compagnie, que les Turcs ne l'eussent pas pris. (Acte 2, scène 5, PAQUIER)
Hé bien, ne voilà pas toujours quitter notre propos ? (Acte 2, scène 9, PAQUIER)
Ce n'est pas que je craigne le combat, au contraire, c'est le pain quotidien que je demande à Dieu tous les jours en me levant. (Acte 2, scène 10, CHASTEAUFORT)
Si je pensois qu'un seul homme se le fût imaginé, pour me venger d'un Individu sur toute l'Espèce, j'envoierais défendre au genre humain d'être vivant dans trois jours. (Acte 2, scène 10, CHASTEAUFORT)
Et vous, sacrés haillons de mes ancêtres qui ne gagnez des crottes qu'aux bons jours, vous qui n'avez point vu le jour depuis celui du mariage de mon bisaïeul, qu'il n'y ait sur votre texte : tache, trou, balafre, ou déchirure qui ne reçoive de nous un sanglot, une larme, et une quérimonie particulière. (Acte 3, scène 1, PAQUIER)
Enfin, puisse la destinée tisser la trame de tes jours avec du crin, des chardons et des étoupes. » (Acte 3, scène 1, PAQUIER)
Oui, venez, mais venez avec une échelle, et montez par ma fenêtre, car mon frère serre tous les jours les clefs de notre maison sous son chevet. (Acte 3, scène 2, GENEVOTE)
Entrez toujours, je vous suis. (Acte 4, scène 3, GRANGER)
Avouez, Monsieur, que Dieu est bon : voilà sans doute la récompense de la Messe que vous lui fîtes dire il n'y a que huit jours. (Acte 4, scène 6, PAQUIER)
Buvez toujours, compagnons, buvez toujours ; vous ne sauriez rien perdre, on donne à « la Croix-Blanche » douze rubis pour la valeur d'une pinte de vin. (Acte 4, scène 8, GRANGER le jeune)
Mais lui, qui riait toujours, il pouvait bien ne l'avoir dit qu'en riant. (Acte 4, scène 8, GRANGER le jeune)
Qu'heureuse entre les Dieux est la Renommée d'avoir cent bouches, mais qu'elle est infortunée de ne les avoir pleines que de vent ; c'est pour s'en bien servir, que la mienne ne dit mot, car sympatisant à mon humeur, elle boit toujours sans relâche, et mange tout jusqu'à ses paroles. (Acte 4, scène 8, GRANGER le jeune)
Serai-je toujours Ambassadeur de mauvaises nouvelles ? (Acte 5, scène 2, CORBINELI)
Là, là, prenez tréjours ; vaut mieux un tian, que deux tu l'auras. (Acte 5, scène 9, GAREAU)
Coeur bas et ravalé, n'as-tu point de honte de consumer l'avril de tes jours à cajoler une fille ? (Acte 5, scène 10, GRANGER)
Mille fois déjà nos âmes seraient sorties par nos blessures, mais nos jours sont nombres et la Providence qui en tient le compte s'offenserait avec raison si notre désespoir contredisait son calcul. (Acte 5, scène 10, GENEVOTE)
Eh bien, ne savez-vous pas que la conclusion d'un poème comique est toujours un mariage ? (Acte 5, scène 10, CORBINELI)

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Dans les 1895 textes du corpus, il y a 2 textes (soit une présence dans 0,11 % des textes) dans lesquels il y a 38 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 19,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LA MORT D'AGRIPPINE	4	3	0	3	5	15
2	LE P?DANT JOU?	2	8	3	5	5	23
	Total	6	11	3	8	10	38